« Dictatorship would be a heck of a lot easier »
– George W. Bush
Une véritable démocratie veut que ce soit le peuple qui détiennent le pouvoir… ou du moins, qu’il en est l’impression. Je suis convaincu qu’une fois au pouvoir, un gouvernement en vient parfois à rêver de prendre action comme bon lui semble, sans jamais avoir de comptes à rendre à sa population. Tout serait bien plus simple n’est-ce pas? Comme nous l’avons vu cette session-ci, l’utilisation des massmedias fut un véritable » gamechanger » dans l’art de la guerre. Historiquement, pour rallier les gens à notre cause dans un contexte de guerre, il fallait trouver un motif rassembleur, souvent religieux ou encore territoriale. Depuis l’époque de la deuxième guerre, ces motifs semblent tous tourner autour de l’économie. Mais qu’en est-il du sentiment d’appartenance de la population face à un tel contexte de conflit ? Sert-il véritablement leurs intérêts? Vont-ils l’accepter ? C’est là que les médias entre jeux.
À mon avis, il existe deux grande catégories où les médias jouent un rôle d’accessoires utile aux gouvernements dans le cas d’une guerre. Il y aurait d’abord l’information, ou encore l’image que l’on tente d’associer au conflit. Exemple avec les USA; les ADM en Irak, ou encore le culte que l’on confère à l’image du soldat servant sa patrie. Ces deux aspects ont grandement été ancrés dans la tête des citoyens grâce à la participation active des réseaux de télé, et des quotidiens papiers. La deuxième catégorie serait plutôt occupée par les médias de divertissement. Ce serait la diversion, voir l’aliénation. Il s’agit d’un rôle voué à détourné l’attention des masses, voir leur inculquer différentes valeurs les rendant trop occupés, voir trop peu intéressés pour s’attarder aux conséquences d’un conflit. Voilà, c’était un peu ma segmentation du rôle des médias modernes dans un contexte de guerre.
Bonne réflexion.